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Conférences - Archéologie des iles de Lérins, état des recherches

Histoire et archéologie lériniennes. Bilans et perspectives
Vendredi 26 novembre 2010, campus Saint-Jean d’Angély 3, salle de réunion 219.

Matinée, de 9h à 13h :
  • Eliana Magnani – Le lectionnaire d’Arles - BnF lat 5295 (fin XIe siècle)
  • Martin Morard – Daniel de Lérins et le Psautier glosé : une page inédite de l’exégèse biblique du XIe siècle
  • Cécile Caby – Denis Faucher éditeur de la littérature lérinienne
  • Germain Butaud, Yann Codou – État des recherches sur la tour.
Après-midi, de 14h30 à 17h30 :
  • Yann Codou – Les fouilles de Saint-Sauveur (Lérins), état des lieux.
  • Anne Joncheray – Prospection d’archéologie sous marine : îles de Lérins et golfe de Cannes
  • Guillaume Debaux, Emmanuel Doveri – Relevé de graffites sur le four à boulets du Dragon (Lérins - île Ste Marguerite, 06). À propos de la défense côtière et de la marine à la fin du XVIIIe siècle.

Vers un LIPDUB de l'Université de Nice et de la faculté de Lettres, Carlone, Action !

Au moment où la mode du LIPDUB se développe, l'Université de Nice recherche des étudiants pour réaliser le sien, à propos de la faculté de Lettres. Le Vice-Président s'adresse à la communauté étudiante de Lettres, les "lettrés".
Pour quoi faire ? D'après le mail, l'objetcif est double :

  • "Servir de carte de visite à la fac de Lettres"


  • "Permettre à Carlone de se faire un nom dans la jungle universitaire niçoise et face aux écoles privées"

En attendant avec impatience le résultat, voici le mail originel et les contacts, pour tout lettré intéressé.



Chers lettrés, étudiants et associations de Carlone,




Votre BDE met actuellement en place un projet inédit : le premier LIPDUB de la fac de Lettres jamais réalisé. Un LIPDUB c'est quoi ? Un clip musical qui servira de carte de visite à la fac de Lettres et permettra à Carlone de se faire un nom dans la jungle universitaire niçoise et face aux écoles privées.

Quelques exemple par ici : http://officelipdub.com



En quoi cela vous concerne-t-il ? C'est bien simple, ce LIPDUB se fait POUR vous mais aussi et surtout PAR vous, votre enthousiasme, votre motivation.



Si vous souhaitez donc vous impliquez dans ce projet, passer un super moment avec les étudiants de votre campus, contactez nous dès à présent :

lipdublettres@gmail.com,



Nous reviendrons très vite vers vous, pour vous expliquez la démarche à suivre, et vous conviez à la journée de répétition et de tournage.



A très bientôt!





Merci d'avance

--

Bien Cordialement,



Ludovic ARNAULT

Vice-Président de l'Université Nice-Sophia Antipolis

Responsable du Bureau de la Vie Etudiante (BVE)

Elu au C.E.V.U. de l'Université Nice Sophia-Antipolis

Elu au C.A. de l'UFR Droit Economie-Gestion et Sciences Politiques

Tel : 04 92 07 68 79

Fax : 04 92 07 60 77

Poste : 12182

http://www.bve-unice.fr



Bureau de la Vie Etudiante (BVE)

28 Av de Valrose

Grand Chateau

B.P. 2135

06103 Nice Cedex 2

La fac (re)demenage

L'an dernier, un campus flambant neuf sortait de terre. Immédiatement, la présidence de l'Université de Nice y déménageait certaines filières de Science Humaine (Histoire & Socio).

Drôle de surprise pour les étudiants et personnels, d'apprendre par voie de presse, en plein été, que finalement et pour l'année prochaine ces filiaires devaient redéménager...



Le département Histoire faisait part de sa consternation le 24 juillet 09 :

Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs,

Comme certains d'entre vous on pu le contaster, le département d'histoire déménage sur le Campus Carlone. A l'heure d'aujourd'hui, nous ne savons pas où nous serons installés.
Nous savons que cela pose d'énormes problèmes pour un grand nombre d'entre vous surtout pour le logement et voir même le transport mais ce n'est pas de gaité de coeur que nous vivons cette situation qui nous est imposée.
Le département d'histoire espère vous revoir l'année prochaine sur le Campus Carlone.
En attendant passer tous de bonnes vacances, pour certains une bonne révision pour leur rattrapage en septembre et courage pour ceux qui devront rechercher un logement.

Les étudiants et élus étudiants publient une lettre au Président de l'Université, le 27 août 09 :
Mardi 23 Août 2009


Monsieur le président de l'université de Nice,
Nous, étudiants et élus étudiants, sommes outragés par les déménagements de dernière
minute que vous préconisez, déménagements que la grande majorité d'entre nous avons appris
par la presse et le bouche à oreille, et non par l'université. Nous comprenons votre motivation,
celle de la sécurité de la communauté universitaire du campus Trotabas. Nous comprenons
moins votre méconnaissance de la situation du campus Carlone, où la pluie pénètre dans les
amphithéâtres et dans certains bureaux administratifs à cause de l'étanchéité défectueuse des
toits. Comment se fait-il que la « commission inter-conseils des locaux » ignore ces
problèmes et ne fasse rien pour y remédier ? Quels sont sinon les aménagements et les
réparations prévues pour assurer la sécurité des milliers d'étudiants, enseignants et
personnels sur le campus Carlone ?
Les effectifs étudiants subissent une certaine érosion depuis plusieurs années en Lettres
et Sciences Humaines. Il convient cependant de prendre en considération que l'UFR Lettres
propose un nombre supérieur de formations que l'UFR Droit. Le département LEA par exemple,
offre à lui seul 21 combinaisons possibles parmi sept langues différentes, déclinées par années,
groupes et parcours. Il est donc normal que même pour un effectif équivalent, l'UFR LASH ait
besoin de davantage de salles, surtout en période d'examens. Ces phénomènes sont loin d'être
récents. En effet, le campus Trotabas est en sur-effectif depuis bien des années. Il est regrettable
d'avoir attendu le 21 juillet 2009 (c'est-à-dire trois jours avant la fermeture administrative de
l'université pour une durée d'un mois) pour vous en inquiéter. Comment une mesure de cette
gravité n'a-telle pu être anticipée ?
A cette date tardive, il est bien évident que des étudiants d'horizons divers et souvent
éloignés ont déjà signé leur bail et payé leurs mois de caution pour se loger près de leur campus.
Que devront-ils faire quand ils découvriront que leurs cours sont déplacés dans un campus plus
que lointain, alors que leur bibliothèque reste sur place ? Savez-vous qu'aucun bus ne relie
directement Carlone et Trotabas à St Jean D'Angély ? Pour ce faire, il faut prendre le bus 22,
rare et surchargé, puis une correspondance via le tramway. Cela fait des années que les étudiants
réclament une navette gratuite qui relierait directement St Jean D'Angély à Trotabas, Carlone et
leurs résidences universitaires, dans l'indifférence générale.
Cette rentrée bousculée ne pourra être que chaotique. Nous sommes au beau milieu de la
période estivale, les campus sont évidemment déserts car les étudiants travaillent ou sont rentrés
chez eux, surtout les étudiants étrangers. Impossible donc de les informer correctement sur ces
déménagements improvisés. Seuls les médias sont là pour transmettre des informations aux
principaux intéressés. A l'heure actuelle, à cause de trop de tergiversation et de rétention
« abusive » d'information, les étudiants ne savent plus où se tiendront leurs cours ni où ils
devront passer leurs examens de rattrapage. Des contestations des acteurs de l'université
commencent déjà à se faire entendre, et ce très légitimement.
D'autant plus qu'il faudra des mois pour remplir, déplacer, vider et reclasser les dossiers
livres et documents d'un campus à l'autre. Pensons aux personnels BIATOSS (par ailleurs en
sous-effectif et en contrats précaires) qui devront s'efforcer d'emballer et déballer des milliers
d'ouvrages, et d'installer les nouveaux locaux afin de parfaire au déménagement, tout en assurant
leurs charges habituelles. Alors que le même transfert avait déjà eu lieu deux années auparavant
dans le sens inverse en ce qui concerne les filières de LASH, sous votre impulsion. Il apparaît
donc que tous les étudiants concernés devront travailler dans des conditions désastreuses, sans
leurs ouvrages de référence, dispersés d'un bout à l'autre de la ville.
Ce désordre est loin de concorder avec le plan réussite en licence pour lequel la ministre
de l'enseignement supérieur a largement subventionné notre université. Vos décisions hâtives
fragilisent des filières déjà mises en difficulté par une baisse systématique de leurs moyens en
personnels et financements (20% de moins cette année pour le budget de l'UFR LASH par
rapport à l'année précédente).
Mais projetons-nous sur le long terme. Le transfert des départements d'Histoire,
Sociologie et Ethnologie à St Jean D'Angély avait une finalité : les rapprocher de la MSH
(Maison des Sciences Humaines), actuellement en construction sur le site Saint Jean D'Angély.
Quelle fonctionnalité garde-t-elle si vous en éloignez ses étudiants et enseignantschercheurs
? Que reste-t-il du projet initial de la MSH ? Les sous-entendus dans votre
courrier du 21 juillet sont pour le moins alarmants. Nous ne nous inquiétons pas exclusivement
de l'urgence à court terme, mais surtout pour la pluridisciplinarité de l'Université de Nice
Sophia-Antipolis, et son devenir.
Qu'entendez-vous par un « collegium des Sciences Humaines et Sociales autour
d'une Maison des Sciences Humaines reconfigurée » ? Diminution progressive de la
recherche ? Fermeture de certains masters jugés « non rentables » ? Pour aboutir à un collège
universitaire qui réduirait les offres de formation en ne proposant plus que le niveau licence ?
Le pôle Saint Jean D'Angély devait être consacré aux sciences humaines, avec ce projet
de MSH initié il y a plus de 10 ans. Vous annoncez aujourd'hui que deux filières du campus
Trotabas (IAE et IDPD) « doivent occuper de manière pérenne et à titre principal la plus grande
partie du campus SJA ». Que deviendront les 1500 étudiants en psychologie de ce campus
maintenant que vous avez décidé de le transformer en « école d'économie et de
management » ? École, c'est à dire ? Sur le modèle des écoles privées aux tarifs prohibitifs ?
Ce qui engendrerait une sélection d'entrée par l'argent, et écarterait automatiquement les
étudiants issus de familles moyennes ou modestes ? Que restera-t-il à terme des sciences
humaines à Saint Jean D'Angély ? Nous ne cherchons pas à faire des polémiques stériles mais
le manque d'explications est criant.
Nous tenons également à vous signaler les propos erronés que vous tenez dans votre
lettre du 21 juillet dernier. Plusieurs étudiants et enseignants qui siègent au Conseil de Gestion
de l'UFR LASH confirment que ce conseil n'a jamais « choisi le campus Carlone pour y
regrouper l'ensemble de ses filières ». Le conseil a voté pour le fait d'accueillir l'IAE à St Jean
D'Angély, mais il n'a jamais été question d'en délocaliser les filières de sciences humaines.
Doit-on rappeler que les étudiants sont les principaux intéressés et acteurs de
l'université ? Afin que les étudiants de l'IAE et de l'IDPD puissent étudier dans de bonnes
conditions au même titre et non au détriment des étudiants de l'UFR LASH, nous vous saurions
gré de bien vouloir reconsidérer vos positions et de vous référer à la décision prise par le
Conseil de gestion de cette même UFR. Tout ceci, bien sûr, pour que l'année universitaire à
venir puisse se dérouler de manière calme, sereine et dans les meilleures conditions d'études qui
soient. Sans conflits « internes » et externes, qui seraient préjudiciables à l'image que nous
souhaitons tous donner de notre université.
Nous espérons que vous saurez entendre et comprendre notre inquiétude que nous
pensons parfaitement légitime, et que vous éclaircirez point par point toutes les zones d'ombre
que nous avons énoncées. Nous vous attendons enfin lors des réunions de rentrée début
septembre pour venir expliquer et assumer vos décisions devant vos étudiants.
Respectueusement.
L'association Comité Local Etudiant (Clé)
L'association Carlone Université Vivante (CUVE)
Les militants de l'Union Nationale des Etudiants de France (UNEF)
Céline Arnaud (Elue étudiante à la Commission Paritaire d'Histoire)
Remy Boeringer (Elu étudiant à la Commission Paritaire d'Histoire, Représentant des M1
CMMC)
Hélène Chevalier (Elue commission paritaire de Psychologie)
Vivien Faraut (Elu étudiant au Conseil d'Administration, Elu CLE au Conseil de Gestion de
l'UFR L.A.S.H.)
Valentina Garnier (Elue étudiante à la Commission Paritaire de Psychologie)
Alexandre Giachero (Assesseur étudiant de l'UFR L.A.S.H.)
Zaineb Hamidi (Elue étudiante à la Commission Paritaire de Psychologie, Elue CLE au Conseil
de Gestion de l'UFR L.A.S.H.)
Vincent Lambert (Elu étudiant au Conseil Scientifique, Elu étudiant au Conseil de Gestion de
l'UFR L.A.S.H.)
Emelie Julie Leclercq Bataille (Elue UNEF au Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire)
Jennifer Martel (Elue étudiante à la Commission Paritaire de Psychologie)
Jean-François Michel (Elu UNEF au Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire)
Alexander Samuel (Elu FACE au Conseil d'Administration)
Isabelle Smith (Elue étudiante au Conseil Scientifique)
Maël Tauziède-Espariat (Elue étudiante à la Commission Paritaire d'Histoire)
Pauline Tixier (Elue CLE au Conseil des Etudes et de la Vie Universitaire)

Programme Universite hors les murs - Nice place Massena mardi 24 Mars

L'Université de Nice et ses personnels se mobilisent dans le cadre de la protestation contre les décrets issus de la LRU. Pour cela ils organisent des cours à l'extérieur, sur la place Massena. Voici le programme :

    • 9h-9h30 : Thierry Long : « Education à la citoyenneté »

    • 9h30-10h : Bruno Vallette : "les Mathématiques : Du tableau noir à la vie quotidienne; une matière humaine"

    • 10-10h30 : Jean-Baptiste Pisano (Histoire de l'Art) : « Le maniérisme ».

    • 10h-10h30 : Yann Codou : « Histoire du patrimoine : les monuments
      historiques de la ville de Nice ».

    • 10h30-12h : Oliviéri, Barillot et Rissolo : "les slogans : approches
      phonologique, sémantique et syntaxique".

    • 11h-12h : Jean-Luc Gautero, "Savoir c'est pouvoir"

    • 12h-12h30 : Rosa Maria Dessi : "La pratique de la peinture infamante en Italie du nord et du centre au Moyen-âge"

    • 12-12h30 : El Mechat Samia : Libertés publiques en situation coloniale

    • 12h30-13h : Edwidge Fusaro : "Le Préambule de La conscience de Zeno entre poésie et analyse".

    • 13h-13h30 : Pierre-Laurent Merle : "Effets des changements climatiques sur les populations de gorgonaires de Méditerranée. Exemple d'un financement d'un programme de recherche par l'ANR. "

    • 13h30-14h : Brigitte Sibille : "Liens entre surpoids et diabète de type 2"

    • 14h-14h30 : Cecile Sabourault : "Séquençage du génome humain : les défis de demain"

    • 14h-14h30 : Didier Forcioli : « Les théories de l'évolution »

    • 14h30-15h : Frédéric Robert : "Quelques problèmes mathématiques théoriques et appliqués"

    • 15h-15h30 : Schadron Georges : « Manipulation psychologique et politique »

    • 15h30-16h : Marina Nordera : « Traités et formes de danse à la renaissance (Italie et France): théorie et pratique »

    • 16h-16h30 : Bruno Marcos : « Fractales: des cotes britanniques aux amas de galaxies »

    • 16h-17h : Marcin Sobieszczanski : La création numérique et les médias dans l'art "
    En fil rouge une exposition photo sera présentée par Candy Sabatier, Maud Kika et Nelly Darmon (Psychologie)

Ou va l'Europe - conference de RM Jennar

Les AMIS du MONDE DIPLOMATIQUE
CARLONE UNIVERSITE VIVANTE
Attac 06
vous invitent à une

CONFERENCE/DEBAT
Après le non Irlandais au traité de Lisbonne
Alors que s’achève la présidence française de l’UE
Alors que l’UE ultralibérale est confrontée à la crise du capitalisme

OÙ VA L’EUROPE ?
Avec Raoul Marc JENNAR
Politologue – Membre du conseil scientifique d’Attac
Dernier ouvrage : « Quelle Europe après le non »
L’auteur signera ses ouvrages à l’issue du débat.
JEUDI 4 DÉCEMBRE 2008
18 H 30
Faculté des lettres - AMPHI 61 -
98, boulevard E. Herriot - NICE

Contact : 06 70 11 19 62 Ne pas jeter sur la voie publique http://cuvenice.free.fr

Appel des lyceenns d'Ile de France : un nouveau mouvement lycéen

La jeunesse s’insurge pour défendre les dernières ruines du service public d’éducation… La jeunesse se soulève pour défendre ses professeurs… Beau paradoxe ?

Non : ces lycéens qui réclament l’abandon des suppressions de postes d’enseignants à la rentrée rentrent en lutte, de façon consciente ou non, contre la libéralisation du Marché des savoirs, ce qui passe nécessairement par la détérioration progressive et aujourd’hui de plus en plus brutale de l’école publique. Car aujourd’hui le gouvernement souhaite réaliser quelques économies au détriment des lycéens, mais aussi des enseignants qui devront continuer à faire cours à des classes de plus en plus surchargées, et donc ingérables de manière conviviale et aptes à la transmission des savoirs et intérêts…

Mais nous le savons bien, il n’y a pas que les lycées qui sont concerné : les universités, récemment touchées par ces réformes visant à faire de l’Europe un des pôles de la « compétition » mondiale du « marché de la connaissance » par le biais du privatisation du financement et de l’organisation des facultés, sont aussi directement concernées par ces suppressions de postes, une bonne partie des étudiants visant le métiers d’enseignants… Les facs vont-elles commencer à se bouger ? Ou les étudiants se sont ils épuisés dans leur lutte inefficace contre la Lru ? A moins qu’ils ne soient résignés, ou qu’ils estiment que ce n’est pas le moment…

A la marchandisation de l’enseignement, laquelle peut se renforcer dés que le secteur public est en difficulté, en accroissant mécaniquement l’attractivité de l’enseignement privé, s’ajoute la casse du secteur public en général : les hôpitaux, les tribunaux, la sécu… Les contres-réformes s’appliquent en bloc, lorsque les résistances sont séparés… Et ce n’est pas simplement les fonctionnaires qui seront victimes de cette logique néolibérale qui instaure la précarité comme règle et le modèle de l’entreprise privé capitaliste comme norme du service public, ni simplement les étudiants et lycéens qui projetaient de devenir fonctionnaire, mais l’ensemble de la population. C’est la définition même d’un service public : offrir pour tous l’accès à certaine ressources et certains droits, indépendamment de ses moyens économiques, de son origine ou ses croyances… Par conséquent, s’attaquer unilatéralement contre les différents services publics comme le fait le gouvernement du président Sarkozy, c’est prendre le risque de renouer les liens entre les différends insurgés, commémoration festive, subversive, révolutionnaire et émancipatrice des quarante ans d’un certain mois de Mai.


Nous, lycéens représentant 23 lycées d'Ile de France, appelons l'ensemble des lycéens à se battre contre les suppressions de postes dans l'Education Nationale, contre une éducation à 2 vitesses et contre la politique de Sarkozy.Nous refusons les 11 700 suppressions de postes el les heures de cours supprimés qui dégradent nos conditions d'études. Nous exigeons 25 élèves par classe dans les lycées généraux. Nous revendiquons le dédoublement de toutes les classes dans les lycées pro, aucune suppression d'options et le droit au redoublement. Nous refusons les suppressions des BEP. Suite aux politiques appliquées depuis des années et avec les mesures prévues dans le rapport Pochard et dans le plan Banlieue, c'est une éducation à 2 vitesses que le gouvernement est en train de mettre en place. Nous exigeons : dans tous les quartiers, dans toutes les régions, un même droit à l'éducation !
Nous exigeons aussi le respect du droit à l'expression et à l'organisation des lycéens. Nous rejetons la politique de Sarkozy, qui s'attaque aux droits des lycéens mais également des profs, et de l'ensemble des jeunes et des travailleurs. Pour amplifier la mobilisation dans chaque bahut déjà en mouvement, nous devons réunir tous les lycéens en Assemblée Générale. Cela permet de discuter de la situation, des revendications et de décider ensemble des actions. Cela permet d'entraîner plus de lycéens dans la discussion et dans l'action. Nous devons nous coordonner avec les profs, qui se battent contre la même politique. Le meilleur moyen pour mettre le gouvernement sous pression et de dégager du temps et de l'énergie pour la mobilisation, c'est la grève. Partout, par des débrayages, des blocages, nous devons stopper les cours, nous réunir et nous mobiliser. Les blocages, l'arrêt de tous les cours doivent être un moyen d'être plus nombreux en AG et dans les manifs. Les manifs doivent continuer, elles permettent de populariser le mouvement et de l'étendre en encourageant plus de lycéens et de profs à participer. S'organiser doit nous servir aussi pour étendre le mouvement et aller débrayer d'autres lycées, ce que nous devons faire dès demain. Nous appelons tous les lycéens à se mobiliser, notamment les lycéens des villes en dehors de la région parisienne.
C'est l'ensemble des jeunes et des personnels enseignants et non-enseignants qui sont attaqués par les réformes du gouvernement. Nous devons répliquer par un mouvement de grève de toute l'EN.
Ce mouvement sera le premier pas d'un mouvement d'ensemble de tous les jeunes et tous les salariés contre ce gouvernement, qui pourrait seul stopper sa politique. C'est pour cette raison que nous invitons touts les lycéens mobilisés à prendre contact et à s'organiser avec leurs profs.
Prochaine étape : manif et grève nationale de toute l'EN le 3 avril (RDV Ile de France à 14h à Luxembourg) Nous appelons à participer à la manif du 5 avril pour la régularisation des Sans-papiers.
La manif du 16 avril sur les salaires sera un prochain rendez-vous de convergence de tous les salariés contre la politique du gouvernement, nous devons y être présents également.

Ronde des facs : L'Université de Nice Sophia-Antipolis organise son premier footing sur la prom

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Nous n'étions pas moins de 520 étudiants et personnels à courir les 4 km sur la prom, à l'occasion de la 1ère "Ronde des Facs".
Cette manifestation sportive avait pour objectif de rassembler tous les campus à l'occasion d'une journée banalisée, avec en point d'orgue un footing sur la promenade des anglais.

Le reste des festivités ayant lieu au Campus Valrose, avec remise des prix et animations diverses.
L'épreuve s'est déroulée dans une bonne ambiance sous le soleil du printemps.

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Lien vers documents officiels et résultats ronde des facs 2008


Article Nice-Matin :

A vendre Universite Faculte UNSA UNICE

L'Université de Nice Sophia-Antipolis est à vendre !

Cliquez sur le titre du message pour plus de renseignements !

Le forum du parcours 4 !



Il est tout beau, il est tout propre et je viens de le créer !
Il s'appel le forum du parcours 4 niçois, et son url est :

http://p4nikaia.aceboard.fr/

à bientot dessus et vogue bien petit forum !